Hello les Makers, j’espère que vous allez bien !
Décembre avance à grands pas et l’ambiance de Noël s’installe un peu partout : guirlandes lumineuses, odeur de biscuits, plaid douillet sur le canapé… C’est le moment idéal pour ajouter une touche de fait main à votre décoration. La broderie permet justement de transformer un simple morceau de tissu en petite pièce précieuse, à la fois décorative et chargée de temps passé pour soi.
Hello les Makers, j’espère que vous allez bien !
Décembre file à toute vitesse et c’est souvent le moment où l’on a besoin de petites pauses douces entre deux journées bien chargées. La broderie est parfaite pour cela : quelques minutes pour enfiler son aiguille, suivre un motif simple, se concentrer sur un geste répétitif… et petit à petit, un dessin apparaît, comme une parenthèse calme au milieu du tourbillon des fêtes.
Pour ce troisième jour du challenge « 1 jour 1 tuto », je vous propose de broder un petit renard d’hiver bien emmitouflé. Paisiblement installé au milieu de feuillages, il apporte immédiatement une ambiance cosy et un peu poétique à votre tambour de broderie. Sur un tissu uni ou façon jean, ce motif fonctionne très bien en petite décoration murale, mais aussi pour personnaliser une housse de coussin, une trousse ou même un pyjama de saison.
Le contour du renard est brodé en point arrière pour dessiner sa silhouette, sa tête et sa queue toute duveteuse. Autour de lui, quelques branches stylisées et petits points viennent rappeler la végétation d’hiver et les lumières des fêtes. Tout reste accessible aux débutants : les feuillages peuvent se réaliser en point de bouclette et les petites touches de « flocons » ou de baies en point de nœud. Avec toujours le même trio de points – point arrière, point de nœud et point de bouclette – vous obtenez une scène complète sans difficulté technique.
Comme pour les autres jours du challenge, le motif du petit renard d’hiver est à télécharger directement ici. Il vous suffit de l’imprimer sur du papier hydrosoluble autocollant, de le coller sur votre tissu, puis de suivre les lignes. Une fois la broderie terminée, un simple passage dans l’eau fera disparaître le support pour ne laisser que votre renard bien au chaud au milieu de ses feuillages.
Et si vous débutez complètement en broderie, n’oubliez pas que vous pouvez vous appuyer sur la vidéo disponible sur la chaîne YouTube. Elle reprend pas à pas les points utilisés et vous montre chaque geste pour que vous puissiez broder en toute confiance.
Prenez le temps de savourer ce motif, point après point, comme un petit rituel du soir ou du week-end. Demain, nous poursuivrons notre série des 12 jours de Noël avec un nouveau dessin à découvrir et à broder pour compléter votre collection hivernale.
A très vite !
Caroline
Hello les Makers, j’espère que vous allez bien !
Chaque fin d’année, la même scène se rejoue : une “couleur de l’année” surgit, et tout le monde se demande si c’est un vrai signal de tendance… ou juste un coup de com’. En 2026, la question est encore plus intéressante, parce qu’on n’a pas une couleur, mais trois lectures complémentaires du monde.
Pinterest Predicts met en avant deux signatures qui montent dans les recherches et les images sauvegardées : Bleu glacier (Cool Blue) et Kaki (Khaki Coded).
Pantone, de son côté, a choisi une teinte presque “anti-tendance” à première vue : PANTONE 11-4201 Cloud Dancer, un blanc doux présenté comme un “murmure de calme et de paix dans un monde bruyant”.
Dans cet article, je vous explique comment ces couleurs sont sélectionnées, puis surtout ce qu’elles racontent du contexte global actuel, et comment les utiliser en DIY pour créer des contenus qui donnent envie.
Comment sont sélectionnées les couleurs (et pourquoi les sources comptent)
Pinterest Predicts : une prévision basée sur les usages
Pinterest Predicts est construit à partir de données de recherche et d’engagement (ce que les gens cherchent, enregistrent, achètent, et les univers visuels qui prennent). Pinterest explique analyser des milliards de recherches et croiser ces signaux avec de la curation d’experts et des vérifications internes pour identifier des tendances “pas encore grand public”.
Pinterest capte ce que les gens ont déjà envie de faire — donc c’est extrêmement actionnable pour nous, créateurs et créatrices de contenus DIY.
Pantone : une décision éditoriale et culturelle (assumée)
Pantone sélectionne une couleur censée refléter “l’air du temps” à l’échelle globale. La marque Pantone s’appuie sur l’observation de signaux culturels et sociétaux (culture, art, technologies, humeurs collectives) pour arrêter son choix annuel.
Et Pantone présente Cloud Dancer comme une couleur “scaffolding” (une base, un support) pour le reste du spectre, avec une intention de calme, clarté, recentrage.
Pantone est moins dans “la data du quotidien” que dans “le symbole”. Et en 2026, ce symbole a déclenché une discussion mondiale.
Les deux couleurs Pinterest 2026 : style et concret
Bleu glacier “Cool Blue” : l’esthétique givre, nette et contemporaine
Dans les tendances Pinterest 2026, le bleu glacé apparaît comme une signature visuelle forte, associée à un imaginaire “glacier aesthetic” et à des teintes bleutées froides, très présentes en mode et lifestyle.
Ce que ça raconte :
-
une envie de clarté (du net, du propre, du “sans bruit visuel”)
-
une forme d’évasion (froid, ciel, givre, distance)
-
un rendu très design quand on le combine à du blanc, du translucide, du satin, du nacré
Kaki “Khaki Coded” : l’utilitaire désirable
Pinterest décrit “Khaki Coded” comme un vestiaire prêt pour l’exploration, avec une logique très “fonctionnelle” (poches, détails, utilité).
Ce que ça raconte :
-
un retour au pratique, au robuste, au durable
-
une valorisation des matières (toiles, coutures visibles, sangles, pièces qui vivent)
-
une esthétique “terrain” qui colle très bien à l’upcycling et au fait-main
Pantone Cloud Dancer : le blanc qui a mis le feu aux discussions
Pantone a choisi Cloud Dancer, un blanc doux. Et ce choix, loin d’être neutre, est devenu un vrai sujet de conversation mondiale.
Pourquoi c’est devenu un sujet “politique” à l’échelle mondiale
Ce choix a été largement interprété comme un symptôme (ou une réponse) aux tensions actuelles, et c’est là que le politique entre en jeu :
Lecture “refuge / fatigue du monde”
Plusieurs articles reprennent l’idée que ce blanc répond à un contexte perçu comme saturé et anxiogène, et qu’il offre une pause visuelle : une respiration, une forme de silence, un retour au calme.
Lecture “tone-deaf / symbole lourd”
Une partie des critiques estime qu’un “blanc de l’année” est culturellement chargé, et peut être perçu comme une neutralisation au moment où la diversité et la représentation restent des sujets sensibles.
Soupçon de stratégie d’attention
Certains commentateurs se demandent si la polémique n’est pas devenue une partie du dispositif (accusation de “rage bait”), notamment parce que le sujet a rapidement débordé sur les réseaux.
Ce qui est le plus marquant en 2026, ce n’est pas le blanc en lui-même, mais ce qu’il déclenche :
-
un blanc présenté comme réponse au bruit (calme, clarté, focus)
-
une couleur immédiatement polémique car le blanc n’est jamais neutre symboliquement
-
une amplification par les médias, les réseaux et les partenariats, qui transforme une annonce design en discussion de société
2026, c’est l’année des postures créatives
Au fond, 2026 ne se résume pas à une seule couleur : c’est un trio qui raconte trois besoins collectifs.
Avec le Bleu glacier, Pinterest capte une envie d’évasion maîtrisée, de netteté, de distance esthétique face au bruit. Avec le Kaki, il révèle un retour au concret : le durable, l’utile, la matière, ce qui tient dans le temps. Et avec Cloud Dancer, Pantone propose une pause symbolique — une page blanche pensée pour apaiser — tout en déclenchant un débat mondial qui rappelle une chose essentielle : les couleurs ne sont jamais neutres.
En 2026, le plus tendance n’est pas seulement une palette : c’est la capacité à créer du sens, à choisir une posture, et à transformer une couleur en expérience à vivre… et à faire soi-même.
A très vite !
Caroline
Hello les Makers, j’espère que vous allez bien !
Les journées de décembre sont déjà bien remplies, mais c’est justement ce qui rend ces petites parenthèses créatives encore plus précieuses. Prendre une heure ou deux pour broder, c’est s’offrir un moment de calme au milieu du tourbillon des fêtes, un temps pour soi où l’on se concentre simplement sur le fil, l’aiguille et le plaisir de voir apparaître un motif sous ses doigts. Pour ce deuxième jour de notre série des 12 jours de Noël, je vous propose une broderie un peu plus graphique mais toujours accessible aux débutants : une couronne d’hiver étoilée.
Le motif du jour forme une jolie couronne composée de petites branches végétales et de touches d’étoiles disséminées tout autour. Sur un tissu façon jean ou un coton uni, le contraste des couleurs met en valeur le relief des feuilles et des petites étoiles, pour un résultat à la fois moderne et chaleureux. Cette couronne d’hiver peut être encadrée dans un tambour, accrochée au mur, posée sur un meuble, ou encore servir de centre de table brodé. C’est aussi une excellente base pour personnaliser un coussin, une housse de carnet ou un tote bag spécial saison froide.
Comme pour l’ensemble du challenge, ce motif reste pensé pour les débutants. Les branches sont brodées en point arrière pour bien dessiner les tiges, puis en point de bouclette pour former les feuilles. Les petites étoiles et les points scintillants sont réalisés en point de nœud (ou en petits points arrière si vous préférez simplifier). Avec seulement ces trois points – point arrière, point de nœud et point de bouclette – vous obtenez une couronne riche en détails sans difficulté technique.
Le motif du jour est disponible en téléchargement ici : il vous suffit de l’imprimer sur du papier hydrosoluble autocollant, de le coller sur votre tissu, puis de suivre les lignes pour broder tranquillement. Une fois la broderie terminée, un simple passage dans l’eau permet de faire disparaître le support et de ne laisser apparaître que votre joli dessin brodé.
Si vous débutez en broderie ou si vous avez besoin d’un rappel sur les points utilisés, une vidéo pas à pas est disponible sur la chaîne YouTube. Elle vous accompagne dans l’apprentissage du point arrière, du point de nœud et du point de bouclette, de manière simple et visuelle.
Installez-vous confortablement avec votre tambour, votre tissu et votre motif imprimé, et laissez-vous porter par le rythme des points. Ce deuxième projet vous permet d’explorer un motif un peu plus dense tout en restant très accessible. On se retrouve demain pour le jour 3 de cette série, avec un nouveau motif de saison à découvrir et à broder pour compléter votre collection des 12 jours de Noël.
A très vite !
Caroline
Hello les Makers, j’espère que vous allez bien !
Aujourd’hui, je vous propose un petit DIY festif pour transformer n’importe quel gâteau simple en véritable gâteau de fête : des décorations de gâteau à imprimer et à piquer sur le dessus. Les motifs de Noël (enfants, sapin, animaux, étoiles, lune…) sont à télécharger directement ici, il ne vous reste plus qu’à les découper et à les fixer sur des bâtonnets en bois.
C’est un projet ultra accessible, parfait pour les débutants, les ateliers avec les enfants ou pour préparer un goûter de Noël à la dernière minute. On personnalise le gâteau sans passer des heures en décoration pâtissière, et le résultat est tout de suite chaleureux et ludique.
Le matériel
Pour un gâteau :
-
Les motifs de décorations de gâteau de Noël à télécharger ici
-
Du papier blanc un peu épais (type bristol ou papier photo mat)
-
Des bâtonnets en bois
-
Cure-dents, piques à brochettes, bâtons de glace… selon la hauteur souhaitée
-
-
Du scotch ou du ruban adhésif double-face
-
Des ciseaux
-
Éventuellement : une petite ficelle ou cordelette fine pour faire une guirlande au-dessus du gâteau
Étape 1 : télécharger et imprimer les motifs
-
Téléchargez le fichier de motifs de décorations de gâteau.
-
Ouvrez le document sur votre ordinateur et vérifiez l’échelle : vous pouvez imprimer tel quel ou réduire/agrandir selon la taille de votre gâteau.
-
Imprimez sur un papier un peu épais, pour que les personnages se tiennent bien une fois piqués dans le gâteau.
-
Laissez sécher quelques minutes avant de découper.
Étape 2 : découper les personnages
-
Découpez soigneusement chaque motif avec des ciseaux bien aiguisés. Si vous avez un plotter de découpe, le fichier est configuré pour.
-
Suivez le contour blanc pour garder cet effet « sticker » qui donne un rendu net et graphique.
-
Triez vos motifs par tailles :
-
Les plus grands pour le premier plan (personnages, sapin, animaux).
-
Les plus petits pour l’arrière-plan ou la guirlande (étoiles, lune, petits éléments).
-
Étape 3 : fixer les motifs sur les bâtonnets
-
Retournez un premier motif sur l’envers.
-
Placez l’extrémité d’un bâtonnet en bois sur l’arrière du motif, en laissant dépasser une bonne longueur vers le bas (pour pouvoir le piquer dans le gâteau).
-
Fixez le bâtonnet avec un morceau de scotch ou de double-face.
-
Appuyez bien pour que l’adhésif tienne correctement.
-
Répétez l’opération pour tous vos motifs.
-
Variez la longueur des bâtonnets pour créer des hauteurs différentes sur le gâteau.
-
Pour un rendu encore plus propre, vous pouvez coller un petit morceau de papier par-dessus le scotch à l’arrière du motif, comme un « cache ».
Étape 4 : préparer la guirlande de ciel (optionnel)
Sur la photo d’exemple, une petite guirlande d’étoiles et de lune vient compléter la scène.
-
Coupez un morceau de ficelle ou de cordelette un peu plus long que le diamètre du gâteau.
-
Fixez une étoile, la lune puis une autre étoile sur la ficelle, en les scotchant par l’arrière.
-
Nouez chaque extrémité de la ficelle autour de deux grands bâtons en bois (type brochette).
-
Vous obtenez une guirlande prête à être plantée derrière les personnages principaux, au-dessus du gâteau.
Étape 5 : décorer le gâteau
-
Une fois le gâteau cuit et refroidi, placez-le sur son plat de service.
-
Commencez par piquer les personnages principaux sur le bord ou au centre du gâteau, en créant une petite scène :
-
Les enfants de Noël devant,
-
Le sapin au milieu,
-
Le lapin, le chat, l’oiseau, etc. autour.
-
-
Ajoutez ensuite la guirlande d’étoiles et de lune derrière, en veillant à bien enfoncer les bâtons pour qu’elle soit stable.
-
Ajustez les hauteurs, puis, si vous le souhaitez, saupoudrez un peu de sucre glace sur le gâteau pour un effet neige.
Le support vidéo est disponible ici !
Votre gâteau de Noël est prêt à être apporté à table : une base toute simple, mais une mise en scène qui fait tout.
A très vite !
Caroline
Hello les Makers, j’espère que vous allez bien !
Le mois de décembre est déjà bien entamé, les to-do lists débordent et les journées filent vite. C’est justement le moment idéal pour s’accorder une parenthèse créative, loin du rythme du quotidien. Quelques points de broderie, un tambour entre les mains, un motif trop mignon et l’on retrouve immédiatement une sensation de calme et de concentration. Pour inaugurer cette série des 12 jours de Noël en broderie, je vous propose un premier motif tout doux, pensé pour être réalisable en une soirée, même si votre planning est chargé.
Aujourd’hui, nous allons broder un petit nœud de Noël entouré de deux branches feuillues. C’est un motif simple et élégant, qui fonctionne aussi bien en mini-décoration murale dans un tambour qu’en petite touche délicate sur une pochette, une serviette ou un set de table de fête. Le nœud est brodé en point arrière pour bien dessiner les contours, et les feuilles sont réalisées en point de bouclette pour leur donner du volume et un joli rendu végétal.
Ce projet est spécialement conçu pour les débutants. Vous n’aurez besoin que de deux points : le point arrière et le point de bouclette. Le nœud central se brode en suivant simplement les lignes du motif, puis vous ajoutez les feuilles de chaque côté. Les points de nœud peuvent servir à ponctuer la broderie (par exemple en petites baies), mais vous pouvez tout à fait les simplifier ou les limiter si vous débutez complètement.
Si vous n’êtes pas encore à l’aise avec ces points, une vidéo pas à pas est disponible sur la chaîne YouTube pour vous accompagner du premier au dernier point et vous montrer chaque geste en détail.
Installez-vous confortablement, préparez votre tambour, votre tissu et vos fils, imprimez votre motif et laissez-vous porter par le rythme des points. Ce premier motif vous permet de reprendre la broderie en douceur et de vous offrir un moment rien qu’à vous au milieu de la période des fêtes. Rendez-vous demain pour découvrir le motif suivant de notre série des 12 jours de Noël, toujours accessible aux débutants et parfait pour enrichir votre petite collection de broderies de saison.
A très vite !
Caroline
Hello les Makers, j’espère que vous allez bien !
Chaque année, Pinterest publie Pinterest Predicts, un rapport de tendances construit à partir de signaux réels : recherches, contenus enregistrés, interactions et comportements d’inspiration. Pinterest explique analyser des milliards de recherches et croiser les données avec une approche “multimodale” (images, mots-clés, usages) et une validation par des expert·es, pour identifier ce qui est en train d’émerger.
Le point clé, pour nous créatrices et créateurs de contenus DIY : Pinterest affirme que ses tendances ont une vraie inertie dans le temps, et met en avant un historique de fiabilité (jusqu’à 88 % de tendances “devenues vraies” sur les six dernières années, selon leurs contenus).
Pour 2026, le rapport met en avant 21 tendances portées par trois moteurs : non-conformisme, auto-préservation et envie d’évasion.
Dans cet article, je vous propose une lecture 100 % “Maison des Makers” :
-
nos 4 tendances piliers (celles sur lesquelles on construit)
-
nos 4 tendances d’inspiration (celles qui vont enrichir notre univers)
1) Nos 4 tendances déjà développée en 2025 et à creuser 2026
Club Courrier
L’idée Pinterest : renaissance de l’écriture épistolaire, avec une approche très “mise en scène” (papier, enveloppes travaillées, papeterie qui devient un objet créatif).
Pourquoi c’est parfait pour La Maison des Makers
Parce que c’est à la fois accessible, économique, très visuel, et déclinable à l’infini (printables, stickers, journaling, emballages, tampons, DIY cadeaux) et ça va totalement dans la tendance du Snail Mail dont nous avons déjà parlé.
Idées DIY à creuser :
-
Kit “Club Courrier” à imprimer : papier à lettres, enveloppes, étiquettes, petites cartes
-
Enveloppes créatives : 5 façons simples d’obtenir un effet waouh
-
DIY “papeterie signature” : créer sa palette de couleurs et ses motifs récurrents
-
Le courrier comme cadeau : lettre + mini surprise faite main
Gummy Gummy More
L’idée Pinterest : une obsession tactile et pop, avec des objets “gummy”, du “moelleux visuel”, des couleurs franches et des textures type gel/ASMR.
Pourquoi ça fonctionne chez nous
Parce que c’est fun, très générationnel, parfait pour du contenu court, et idéal pour créer des collections (stickers, patches, motifs, étiquettes, mini accessoires).
Idées DIY à creuser :
-
Planche de stickers “Gummy”
-
Customisation d’un tote bag motifs Gummy en flex
-
Bijoux avec des Gummy qui pendent
-
DIY packaging cadeau “bonbons” : étiquettes, mini boîtes, toppers
Broché comme jamais
L’idée Pinterest : le retour des broches, pin’s, bijoux d’héritage, portés de façon moderne, y compris sur des pièces inattendues.On a déjà pleins de propositions toute l'année et nous sommes ravis de poursuivre cela !
Pourquoi c’est une mine d’or éditoriale
Parce qu’une broche, c’est rapide à fabriquer, parfait pour les chutes, et très “avant/après” (ce que Pinterest adore).
Idées DIY à creuser :
-
Broches couture faciles avec gabarits à télécharger
-
Upcycling : transformer une veste ou un pull avec une broche statement
-
Broches saisonnières : Noël, printemps, Halloween, “rentrée”
-
Broches textiles “sans couture” : colle textile + astuces de finition propre
Dépareillé au même
L’idée Pinterest : l’esthétique volontairement “à côté”, asymétrique, décalée, avec une notion d’erreur assumée qui devient style. On l'avait déjà travaillé l'an dernier avec une paire de boucles d'oreilles et c'est dans les cartons depuis un moment pour fabriquer des boutons
Pourquoi c’est stratégique pour nous
Parce que c’est exactement l’esprit “créatif libéré” : on assemble, on mixe, on ose. Et surtout, c’est un levier pour dédramatiser le DIY : pas besoin de perfection pour un résultat fort.
Idées DIY à creuser :
-
Mix and Match : 5 règles simples pour harmoniser des motifs “qui ne vont pas ensemble”
-
Patchwork moderne débutant : coussin ou pochette en blocs irréguliers
-
Bijoux, boutons, crochet décallés
-
Flex et découpe : typographies décalées, doubles contours, superpositions
2) Nos 4 tendances complémentaires
Ces tendances-là, ce sont des univers d’inspiration : elles enrichissent notre créativité, nourrissent les palettes, les motifs, les scénographies, et peuvent devenir ponctuellement des mini thèmes. L’objectif n’est pas forcément d’en faire des “piliers”, mais de s’en servir comme d’un moteur visuel et narratif, pour renouveler votre contenu et vos créations.
Dans la dentelle
La dentelle, ce n’est pas seulement une matière : c’est une ambiance. Elle évoque la délicatesse, le détail, le raffinement, et surtout un savoir-faire visible immédiatement. Elle peut être romantique, vintage, ou au contraire très moderne si on la détourne avec des formes graphiques, des contrastes, ou des couleurs plus franches.
Ce qui est intéressant en 2026, c’est ce retour à l’ornement assumé : on veut des détails qui se voient, sans forcément faire compliqué. La dentelle permet justement d’ajouter une touche “signature” à un projet simple : un détail suffit.
Pistes créatives
Jeux de transparence : calque, superpositions, bords ajourés.
Effet “pièce précieuse” : un élément délicat au milieu d’un design très épuré.
Mix matières : dentelle + coton brut, dentelle + denim, dentelle + papier texturé.
Mystèrre
Mystèrre, c’est un univers de narration : on est dans le poétique, l’étrange doux, l’imaginaire. Cela peut être très “cabinet de curiosités” (herbiers, cartes, objets trouvés), ou plus céleste (lune, étoiles, constellations), ou encore inspiré des contes et des paysages lointains, à fond tendance mysterial witch.
Cette tendance est particulièrement riche pour créer des collections de motifs et des séries qui racontent quelque chose. Elle apporte une profondeur visuelle immédiate, parce qu’elle convoque des symboles, des textures, des vieux papiers, des cadres, des médaillons.
Pistes créatives
Motifs symboliques : clés, lunes, herbiers, étoiles, yeux, médaillons.
Textures : papier patiné, kraft, encre, tampons, effets “carte ancienne”.
Scénographie : lumières plus douces, objets vintage, mise en scène “exploration”.
Récré rétro
Récré rétro, c’est la nostalgie joyeuse : l’esprit “enfance”, les codes graphiques de la rentrée, des années 90/2000, les couleurs pop, les badges, les stickers, les formes simples et assumées.
Ce qui fonctionne particulièrement bien ici, c’est l’immédiateté : c’est fun, lisible, identifiable en une seconde. Et c’est une esthétique qui se décline très facilement en séries, en petits projets et en supports imprimés.
Pistes créatives
Codes école : quadrillage, lignes, carnets, étiquettes “nom/prénom”.
Accessoires : badges, patchs, porte-clés, mini étiquettes.
Graphisme : typographies bold, smileys, étoiles, couleurs franches.
Chapithome
Chapithome est l’une des tendances fortes de Pinterest Predicts 2026 : le terme combine l’idée de chapiteau et de home (la maison), avec une esthétique inspirée du cirque, plus ou moins vintage, plus ou moins chic selon les interprétations. Ce qui rend Chapithome particulièrement intéressant pour vous : les rayures. Pinterest met en avant des recherches en hausse autour d’éléments comme le plafond à rayures, la chambre d’enfant cirque, ou encore l’intérieur cirque.
Pourquoi c’est inspirant ?
Parce que les rayures sont un motif “outil” : elles structurent, elles dynamisent, elles créent une identité visuelle forte, et elles se déclinent sur tous les supports (papier, textile, déco, packaging). Et surtout, on peut faire Chapithome de plusieurs manières : très coloré et ludique, ou plus sobre et graphique, simplement en jouant sur l’échelle des rayures et la palette.
Pinterest Predicts 2026 est particulièrement intéressant pour nous, car il pousse des tendances profondément compatibles avec le DIY : retour du papier, obsession de la matière, accessoires qui transforment une tenue, et liberté créative assumée. Et surtout, il offre un cadre clair pour créer des contenus cohérents, réutilisables et déclinables toute l’année. On va voir comment se l’approprier tout le long de l'année :)
A très vite !
Caroline
Hello les Makers, j’espère que vous allez bien !
Aujourd’hui, on s’attaque à un grand classique des fêtes : le pull de Noël… mais en version « pull beau ». L’idée est simple : partir d’un sweat ou d’un pull uni et le transformer en pull de Noël personnalisé grâce à des transferts à repasser. Sur le blog, vous pouvez télécharger plusieurs motifs différents pour composer une petite collection : flocons, sapins, tasses de chocolat chaud, personnages mignons… à vous de choisir votre préféré.
C’est un projet ultra accessible, parfait pour une après-midi créative en famille, entre amis ou pour préparer un Christmas jumper day à l’école ou au travail. Pas besoin d’être expert en couture : ici, on découpe, on positionne, on repasse… et c’est tout.
Le matériel
-
1 pull ou sweat uni (coton ou mélange coton, bien lisse)
-
Le motif de Noël à télécharger ici (plusieurs modèles disponibles)
-
Du papier transfert compatible avec votre imprimante (jet d’encre ou laser, selon votre matériel)
-
Une imprimante
-
Des ciseaux (ou une machine de découpe si vous en avez une)
-
Un fer à repasser (sans vapeur) ou une presse à chaud
-
Une planche à repasser bien stable
-
Un tissu fin ou papier cuisson (si indiqué par votre papier transfert)
Étape 1 : télécharger et choisir votre motif
-
Téléchargez le ou les motifs de Noël que vous souhaitez utiliser.
-
Ouvrez le fichier sur votre ordinateur et choisissez la taille :
-
Motif central bien visible pour un grand sweat.
-
Petit motif poitrine pour un style plus discret.
-
Plusieurs petits motifs pour créer une composition.
-
Si vous utilisez du papier transfert qui demande une impression en miroir, pensez à vérifier ce point dans la notice du fabricant avant d’imprimer.
Étape 2 : imprimer les transferts
-
Coupez une feuille de papier transfert si besoin, ou utilisez-la telle quelle.
-
Insérez le papier transfert dans l’imprimante dans le bon sens (face imprimable du bon côté).
-
Depuis votre logiciel d’impression, choisissez le bon type de papier (photo / spécial) et une bonne qualité d’impression.
-
Imprimez vos motifs et laissez sécher l’encre quelques minutes avant de les manipuler.
Étape 3 : découper les motifs
-
Découpez soigneusement le contour de chaque motif aux ciseaux, au plus près du dessin pour un rendu plus joli.
-
Si vous utilisez une machine de découpe (type Cricut), vous pouvez préparer un contour de découpe pour un résultat très net.
Plus la découpe est propre, plus le transfert se fondra bien sur le pull.
Étape 4 : préparer le pull
-
Repasser rapidement le pull pour enlever les plis, surtout à l’endroit où vous allez poser le motif.
-
Placez le pull bien à plat sur la planche à repasser, sans coutures gênantes sous la zone de transfert (déplacez-le légèrement si besoin).
-
Glissez une chute de tissu ou un carton fin à l’intérieur du pull si le fabricant du papier transfert le recommande (cela évite que la chaleur ne marque l’arrière).
Étape 5 : positionner et fixer le transfert
-
Placez le motif à l’endroit choisi sur le pull. Centrez bien si vous le mettez au milieu :
-
Pliez légèrement le pull en deux pour repérer le milieu.
-
Positionnez le motif par rapport à cette ligne centrale.
-
-
Suivez les indications de votre papier transfert :
-
Certains motifs se posent face dessinée contre le tissu, d’autres face vers vous.
-
Le temps et la température peuvent varier selon les marques.
-
-
Réglez votre fer à repasser sur la température conseillée (souvent coton, sans vapeur).
-
Protégez éventuellement le motif avec un papier cuisson ou un tissu fin, si indiqué.
-
Appliquez le fer en appuyant bien, sans le faire glisser, pendant le temps recommandé. Déplacez le fer zone par zone pour couvrir tout le motif.
Étape 6 : retirer le support
-
Laissez refroidir quelques instants si le fabricant le conseille, ou au contraire retirez à chaud si c’est indiqué (chaque papier a ses consignes, à vérifier).
-
Décollez doucement le support du transfert, en commençant par un coin.
-
Si une partie du motif ne semble pas bien adhérer, reposez le support et repassez quelques secondes supplémentaires.
Votre motif est maintenant fixé sur le pull.
La vidéo pas à pas est disponible ici !
Vous pouvez décliner ces transferts sur toute une collection de vêtements de Noël : sweats, t-shirts, tote bags, pyjamas de famille… et même assortir tout le monde pour les photos de fin d’année. Il ne vous reste plus qu’à choisir vos motifs préférés sur le blog et à créer vos pulls beaux de Noël.
A très vite !
Caroline
Hello les Makers, j’espère que vous allez bien !
Aujourd’hui, je vous propose un indispensable pour la cuisine : des maniques bien épaisses pour sortir les plats du four sans se brûler les doigts. C’est un projet rapide, idéal pour utiliser de jolis restes de coton, et parfait pour apprendre plusieurs bases de la couture : insérer une épaisseur de molleton spécial chaleur, réaliser une petite anse, retourner un ouvrage et faire de belles finitions à la main et à la machine.
En plus, les maniques sont une excellente idée de cadeau fait main : vous pouvez en coudre deux ou trois assorties, les coordonner à un tablier ou à un sac à plats, et créer un joli ensemble pour la cuisine.
Le matériel
Pour une manique :
-
2 carrés de tissu de 18 x 18 cm (coton de préférence)
-
1 carré de molleton spécial chaleur de 18 x 18 cm (type molleton isolant pour maniques et gants de cuisine)
-
1 rectangle de tissu de 10 x 5 cm pour l’anse
-
Fil coordonné
-
Épingles ou pinces
-
Ciseaux
-
Aiguille à main pour la couture invisible
Machine à coudre (point droit)
Étape 1 : préparer l’anse
-
Prenez le rectangle de 10 x 5 cm.
-
Pliez-le en deux dans le sens de la longueur, endroit contre endroit, puis repassez légèrement pour marquer le pli.
-
Ouvrez, puis repliez chaque long bord vers la ligne du milieu.
-
Repliez une nouvelle fois en deux le long de la première pliure : vous obtenez une petite bande épaisse, avec tous les bords rentrés à l’intérieur.
-
Piquez au point droit tout le long, près du bord, pour former un cordon un peu épais.
Votre anse est prête.
Étape 2 : assembler les épaisseurs
Nous allons préparer un « sandwich » avec les tissus et le molleton.
-
Posez le premier carré de tissu à plat, endroit vers vous.
-
Disposez la petite anse dans un des angles du carré :
-
Pliez l’anse en deux pour former une boucle.
-
Placez les extrémités de l’anse dans l’angle, alignées au bord du carré, la boucle tournée vers l’intérieur du carré.
-
Épinglez pour maintenir.
-
-
Posez le deuxième carré de tissu par-dessus, endroit contre endroit, en alignant bien les bords. L’anse est maintenant prise en sandwich entre les deux tissus.
-
Retournez délicatement l’ensemble et placez le carré de molleton sous l’un des deux tissus (vous avez donc : tissu – tissu – molleton).
-
Épinglez ou pincez tout le tour pour que les trois épaisseurs ne glissent pas.
Étape 3 : couture du pourtour
-
Cousez tout autour à 1 cm du bord, en laissant une ouverture d’environ 8 cm sur un côté pour pouvoir retourner la manique.
-
Passez bien sur la zone de l’anse et faites quelques points arrière à cet endroit pour la renforcer.
Étape 4 : dégarnir et retourner
-
Dégarnissez légèrement les quatre angles :
-
Coupez l’excédent de tissu en biseau, sans couper la couture, pour réduire l’épaisseur.
-
-
Retournez la manique sur l’endroit par l’ouverture.
-
Aidez-vous d’un outil non pointu (comme le bout d’une baguette ou d’un crayon à bout arrondi) pour ressortir proprement les angles.
-
Lissez les bords avec les doigts puis repassez légèrement pour bien aplatir le tout, en prenant garde à la chaleur selon le molleton utilisé.
Étape 5 : fermer l’ouverture à la main
-
Rentrez les marges de couture de l’ouverture vers l’intérieur, en les alignant sur le reste du bord.
-
Avec une aiguille et du fil coordonné, fermez l’ouverture à la main en point invisible (petits points réguliers qui « disparaissent » dans le pli du tissu).
Cette étape permet une finition propre et discrète.
Étape 6 : les coutures de finition
Pour que la manique soit bien plate, solide et esthétique, on ajoute des coutures décoratives.
-
Sur l’endroit, piquez tout autour de la manique à 1 cm du bord.
-
Cette piqûre de maintien garde les épaisseurs bien en place et renforce les bords.
-
-
Ensuite, tracez mentalement (ou légèrement au stylo effaçable) deux diagonales reliant les coins opposés du carré.
-
Piquez une première diagonale d’un angle à l’angle opposé.
-
Piquez la seconde diagonale.
Ces coutures en croix maintiennent le molleton à l’intérieur, évitent qu’il ne bouge avec le temps, et donnent un joli effet matelassé.
La vidéo pas à pas est à retrouver ici !
Votre manique est prête à rejoindre la cuisine. Vous pouvez bien sûr en coudre plusieurs en série : même taille, tissus coordonnés ou jeux de couleurs contrastées. C’est un excellent projet pour utiliser des chutes de tissu et se constituer un petit stock de cadeaux faits main.
A très vite !
Caroline
Hello les Makers, j’espère que vous allez bien !
Aujourd’hui, je vous propose un projet à la fois pratique et écolo : une pochette à sandwich réutilisable, cousue dans un joli coton indien que l’on imperméabilise soi-même. L’idée : remplacer le film plastique ou l’aluminium par une pochette souple, lavable et qui s’adapte à presque toutes les tailles de sandwich grâce à un système de rabats et de languette à scratch.
C’est un excellent projet pour débuter : des lignes droites, deux grands coupons de tissu, une petite languette et seulement quelques coutures. Vous obtenez au final un accessoire du quotidien facile à glisser dans le cartable, le sac de sport ou le tote bag du bureau.
Le matériel
-
2 coupons de coton indien de 50 x 50 cm
-
Produit imperméabilisant pour tissu (type Odif)
-
1 petite chute de tissu pour la languette (environ 8 x 12 cm)
-
Bande de velcro (scratch) de 2 à 3 cm de large
-
1 petit morceau pour la languette
-
1 petit morceau pour l’extérieur de la pochette
-
-
Fil coordonné
-
Épingles ou pinces
-
Ciseaux ou cutter rotatif
-
Machine à coudre (point droit)
-
Fer à repasser
Étape 1 : imperméabiliser le coton
-
Protégez votre surface de travail selon les indications du fabricant.
-
Étalez votre coupon de coton indien bien à plat.
-
Aposer le produit imperméabilisant Odif régulièrement sur toute la surface.
-
Laissez sécher pendant 2h
La face intérieure de votre future pochette est ainsi protégée.
Étape 2 : préparer la languette
-
Coupez 2 rectangles d’environ 8 x 12 cm dans une chute de tissu.
-
Cousez le premier morceau de velcro au centre de la lanquette
-
Cousez les deux rectangles endroit contre endroit à 1 cm du bord, en laissant une extrémité ouverte.
-
Dégarnir les angles puis retournez la languette sur l’endroit à l’aide d’une baguette ou d’une épingle à nourrice, puis repassez
5. Sur le carré extérieur, coudre la deuxième partie du velcro sur une des bordures au centre.
La languette est prête à être insérée entre les deux couches de tissu.
Étape 3 : assembler la pochette
-
Placez un premier carré de 50 x 50 cm, endroit vers vous.
-
Positionnez la languette sur l’un des côtés bien au milieu milieu, velcro tourné vers l’intérieur du carré. L’extrémité ouverte de la languette doit dépasser légèrement du bord du tissu (1 à 1,5 cm).
-
Posez le deuxième carré par-dessus, endroit contre endroit, en emprisonnant la languette entre les deux tissus avec le velcro du coté opposé à la languette
-
Épinglez tout autour, en laissant une ouverture d’environ 8 à 10 cm sur un côté pour pouvoir retourner l’ouvrage.
-
Cousez tout le tour à 1 cm du bord, en n’oubliant pas de laisser l’ouverture. Faites quelques points d’arrêt au début et à la fin de la couture, surtout autour de la languette pour la renforcer.
Étape 4 : retourner et surpiquer
-
Dégarnissez légèrement les angles (coupez l’excédent de tissu sans toucher à la couture) pour des coins bien nets.
-
Retournez la pochette sur l’endroit par l’ouverture.
-
Faites ressortir les angles avec une pointe d'aiguille à tricoter.
-
Rentrez les marges de couture de l’ouverture vers l’intérieur.
5. Fermer l'ouverture avec une couture invisible à la main.
Votre pochette à sandwich est terminée.
Comment utiliser la pochette
-
Ouvrez complètement la pochette à plat, côté intérieur imperméabilisé vers vous.
-
Posez le sandwich au centre.
-
Repliez d’abord les côtés droit et gauche sur le sandwich.
-
Repliez ensuite le bas puis le haut, comme un petit paquet.
-
Ramenez la languette vers l’avant et fixez-la sur le velcro.
Grâce à ce système de rabats et de languette, la pochette s’adapte à différentes tailles de sandwich : club, tartines superposées, sandwich baguette coupé en deux… Il suffit de serrer plus ou moins les plis avant de fermer.
Vous pouvez en coudre plusieurs dans des tissus différents pour toute la famille, et les laver simplement avec un coup d'éponge. Et pour plus de simplicité, la vidéo est à retrouver ici !
Caroline
Hello les Makers, j’espère que vous allez bien !
Aujourd’hui, je vous propose un projet couture tout simple mais très gratifiant : une serviette de table carrée, avec de jolis angles bien nets et un galon serpentin ultra graphique. C’est le genre de petite cousette qui change tout sur une table : quelques couleurs, un joli tissu, un détail contrastant… et votre repas prend tout de suite un air de fête.
C’est aussi un excellent exercice quand on débute : on apprend à couper droit, à préparer des ourlets réguliers, à soigner les angles et à poser une garniture décorative sans stress. Pas de pièces complexes à assembler, pas de courbes difficiles, juste un carré et quelques lignes droites pour prendre confiance avec sa machine.
Autre avantage : ce tuto se prête parfaitement au recyclage. Un reste de tissu de rideaux, une ancienne nappe, un grand coupon que vous ne saviez pas comment utiliser… transformez-les en serviettes coordonnées. En changeant simplement la couleur du serpentin, vous pouvez créer une version chic pour les dîners, une version colorée pour les goûters d’enfants ou une série assortie à votre vaisselle préférée.
Dans ce pas-à-pas, nous allons partir d’un carré de 45 x 45 cm, réaliser un ourlet double repli avec de beaux angles, puis coudre un serpentin tendance tout autour. Vous verrez, une fois que vous aurez réalisé une première serviette, vous aurez envie d’en coudre toute une pile.
Le matériel
-
1 carré de tissu de 45 x 45 cm (coton ou métis, déjà lavé et repassé)
-
Environ 2 m de galon serpentin
-
Fil coordonné
-
Épingles ou pinces
-
Règle, craie ou stylo effaçable
-
Fer à repasser
-
Machine à coudre (point droit)
Étape 1 : préparer le carré
-
Coupez un carré de 45 x 45 cm dans votre tissu.
-
Si besoin, surfilez rapidement tout le tour au point zigzag pour éviter que le tissu ne s’effiloche.
-
Repasser bien à plat : plus le tissu est lisse, plus les ourlets seront propres.
Étape 2 : marquer les futurs ourlets
On part sur un ourlet double repli, fin et régulier.
-
Sur l’envers, tracez un premier trait à 1 cm du bord sur les quatre côtés.
-
Tracez un second trait à 1 cm du bord, toujours sur les quatre côtés.
Le principe : on replie d’abord jusqu’à 1 cm, puis une seconde fois jusqu’aux 1 cm pour enfermer le bord brut.
Étape 3 : former de beaux angles
-
Travaillez coin par coin.
-
Pliez le coin du tissu en diagonale, envers contre envers, sur environ 2 cm, puis repassez.
-
Dépliez : un petit triangle se dessine, il vous sert de repère.
-
Repliez le bord du côté jusqu’au trait des 1 cm, repassez.
-
Repliez une deuxième fois jusqu’au trait des 1 cm, repassez à nouveau.
-
Faites la même chose avec le côté B : en venant « caler » le deuxième repli contre le premier (vous pouvez utiliser un poinçon pour vous aider), vous obtenez un angle propre, sans grosse surépaisseur.
-
Épinglez pour maintenir.
-
Répétez sur les trois autres coins, puis complétez les ourlets sur tous les côtés.
À ce stade, vous avez une jolie serviette avec un ourlet double repli prêt à être piqué.
Étape 4 : piquer l’ourlet
-
Enfilez un fil coordonné.
-
Commencez à coudre au milieu d’un côté, à environ 2 mm du bord intérieur de l’ourlet (côté serviette).
-
Avancez régulièrement.
-
À chaque angle, laissez l’aiguille plantée, relevez le pied de biche, faites pivoter la serviette de 90°, reposez le pied et continuez.
-
Terminez en chevauchant le début de la couture sur 1 cm et faites quelques points arrière pour sécuriser.
Repasser une nouvelle fois pour bien aplatir les ourlets.
Étape 5 : poser le serpentin
-
Placez la serviette à plat, endroit vers vous.
-
Décidez de l’emplacement du serpentin, par exemple à 1,5 à 2 cm du bord.
-
Dans les angles, accompagnez doucement le galon pour dessiner une jolie courbe, sans le plier brutalement.
-
Faites tout le tour de la serviette.
-
De retour au point de départ, faites se chevaucher début et fin du galon sur 1 à 2 cm, coupez l’excédent et repliez légèrement l’extrémité sous elle-même pour éviter qu’elle ne s’effiloche.
Étape 6 : coudre le serpentin
-
Réglez votre machine sur un point droit un peu plus long que d’habitude (2,5–3 mm).
-
Piquez au centre du serpentin en suivant sa « vague ».
-
Avancez tranquillement, en guidant la serviette sous le pied pour garder une couture bien au milieu.
-
Dans les angles, pivotez légèrement la serviette au fur et à mesure, plutôt que de tourner d’un seul coup.
Un dernier coup de fer et votre serviette serpentin est prête. Vous pouvez la décliner dans toutes vos chutes de tissu, jouer sur les contrastes de couleurs et composer un joli service de table 100 % fait main.
Si vous avez envie de voir notre vidéo, elle est ici !
A très vite !
Caroline
Hello les Makers, j’espère que vous allez bien !
Aujourd’hui, je vous propose un projet simple et très satisfaisant pour préparer des emballages de Noël vraiment uniques : des étiquettes cadeaux à partir de motifs exclusifs à imprimer. L’idée est de télécharger les illustrations ici sur le blog, de les découper puis de les coller en relief sur des cartes kraft pour créer de jolies étiquettes prêtes à accrocher à tous vos paquets.
C’est un DIY parfait pour les débutants et les familles : peu de matériel, des gestes simples et un résultat très graphique. Vous pouvez en fabriquer une série en peu de temps, coordonner les couleurs à votre papier cadeau et même impliquer les enfants dans la découpe et l’assemblage.
Le matériel
Pour une série d’étiquettes de Noël, vous aurez besoin de :
-
Les planches de motifs de Noël à télécharger ici
-
Du papier photo ou un beau papier épais pour l’impression
-
Des cartes kraft (format étiquette ou des rectangles découpés dans une feuille de kraft)
-
Du double-face épais (type mousse 3D) pour créer le relief
-
Des ciseaux ou un cutter de précision
-
Une perforatrice (pour faire le trou des étiquettes)
-
De la ficelle, du ruban ou de la cordelette pour accrocher les étiquettes
Étape 1 : télécharger et imprimer les motifs
-
Téléchargez les planches de motifs de Noël proposées ici.
-
Ouvrez le fichier sur votre ordinateur et choisissez la mise en page qui vous convient (taille des motifs, quantité par page…).
-
Imprimez sur un papier épais ou un papier photo pour que les étiquettes se tiennent bien.
-
Laissez sécher quelques minutes avant de manipuler les feuilles imprimées.
Étape 2 : découper les illustrations
-
Découpez chaque motif avec des ciseaux bien aiguisés ou un cutter de précision. Les fichiers sont proposés en format .png afin d'être découpés avec un plotter de découpe si vous en possédez un.
-
Suivez le contour blanc autour des dessins pour garder le style « sticker » comme sur la photo.
-
Placez les motifs découpés de côté, en les triant par thème si vous le souhaitez (personnages, décorations, gourmandises, etc.).
Étape 3 : préparer les cartes kraft
-
Si vous utilisez des cartes prédécoupées, il ne vous reste qu’à les sortir de leur paquet.
-
Sinon, coupez des rectangles ou étiquettes dans une feuille de kraft épaisse.
-
Par exemple : 4 x 7 cm, 5 x 9 cm… adaptez au format de vos motifs.
-
-
Coupez éventuellement un angle en biais sur le haut pour donner une forme d’étiquette.
-
Percez un trou en haut de chaque carte avec une perforatrice : c’est là que passera la ficelle.
Étape 4 : coller les motifs en relief
-
Retournez un motif imprimé et collez au dos un petit morceau de double-face épais (mousse 3D).
-
Retirez la pellicule protectrice.
-
Positionnez le motif au centre ou légèrement décalé sur une carte kraft, puis appuyez pour le fixer.
-
Répétez l’opération avec tous vos motifs :
-
Un motif par étiquette pour un rendu minimaliste.
-
Ou plusieurs petits motifs regroupés sur une même carte pour une version plus riche.
-
Le double-face épais crée un joli relief qui met les illustrations en valeur et donne un côté très « papeterie créative » à vos étiquettes.
Étape 5 : ajouter la ficelle et personnaliser
-
Coupez un morceau de ficelle ou de ruban d’une quinzaine de centimètres.
-
Passez-le dans le trou de l’étiquette et faites un nœud.
-
Si vous le souhaitez, ajoutez au dos un petit message au stylo : prénom, mot doux, numéro de paquet pour un calendrier de l’Avent, etc.
Vous pouvez retrouver la vidéo pas à pas par ici !
Vos étiquettes de Noël sont prêtes à être accrochées à tous vos paquets, boîtes et sachets faits maison. N’hésitez pas à mixer les motifs, les tailles d’étiquettes et les couleurs de ficelle pour créer une belle série coordonnée à votre thème de Noël.
Avec quelques feuilles imprimées et des cartes kraft, vous obtenez une collection d’emballages exclusifs, 100 % faits maison.
A très vite !
Caroline
Tuto DIY Noël : Mes étiquettes cadeaux
3 déc. 2025
Inscription à :
Commentaires
(
Atom
)












